|
Légendes
| |
Une légende (de l'adjectif verbal latin legenda, « qui doit être lu ») est, à l’origine, un récit mis par écrit pour être lu publiquement : dans les monastères, pendant les repas ; dans les églises, pour l’édification des fidèles lors de la fête d’un saint. Dans ce genre de littérature, la précision historique passe au second plan par rapport à l’intention
spirituelle (dans l'hagiographie) ou morale.
| | |
C'est un récit fictif le plus souvent d'origine orale faisant appel au merveilleux. Une légende, à la différence d'un conte, est liée à un élément précis (lieu, objet, personnage historique, etc.) et se focalise moins sur le récit lui-même que sur l'intégration de cet élément dans le monde quotidien ou l'histoire de la communauté à laquelle la légende appartient. C'est une évolution populaire du mythe dans sa fonction fondatrice d'une culture commune. C'est le cas de la légende de la Bête du Gévaudan, de la sardine qui boucha le port de Marseille ou encore des nombreuses légendes mettant en scène un pont du diable.
Dans la langue courante, le mot légende est également devenu synonyme de mythe, et renvoie à quelque chose dont l'existence n'a jamais pu être prouvée (la légende des sirènes, à titre d'exemple).
[http://fr.wikipedia.org/wiki/L%C3%A9gende]
|
| |
LA
BETE
Entre 88 et
124 attaques contre des humains, plutôts jeunes, sont
recencés dans le GEVAUDAN , entre
1764 et 1767. Ces faits reconnus, seraient imputables à une
"BÊTE FEROCE", et là commence véritablement la légende.
Animal, loups ou autres canidé
hybride, ou bien être
humain aux moeurs dérangées, à mi-chemin entre homme et loups, un LOUP-GAROU, ou pourquoi pas des
extra-terrestestres ?
Ainsi est née la légende de LA BETE
DU GEVAUDAN ... dont la premiére
victime officielle fût Jeane
BOULET du village des UBAS.
| |
| | |
PAPILLON
Film
américain de 1973 avec Steve MAC QUEEN et Dustin HAUFFMAN, qui relate l'évasion d'un prisonnier du BAGNE DE CAYENNES.
Alors, quel
rapport avec ce site et l'ARDECHE ?
Tout simplement car le bagnard PAPILLON, de son vrai nom Henri CHERRIERE, est né le 16 NOVEMBRE
1906 à SAINT-ETIENNE-DE-LUGDARES, et y vécut seulement
ses 2 premiéres années, ses parent y étant
institueurs ... Une plaque comménorative est maintenant
apposée à l'ancienne école.
Livre à succés, écrit en 1969, à priori
autobiographique bien que sujet à
caution, c'est le film de Franklin J. SCHAFFNER, sorti en
1973 avec la TWENTIETH CENTURY
FOX, qui sera un succés
internationnel.
|
| |
PEYREBEILLE
Autre film ayant largement
contribué à la connaissance, mais
franco-francaise, cette fois-ci.. Avec L'AUBERGE
ROUGE, et FERNANDEL
en tête d'affiche, la légende de PEYREBEILLE dépasse désormais les frontiéres
ARDECHOISES ...
Ainsi, en 1951, le réalisateur Claude AUTANT-LARA illustre un fait divers réél, situé prés
de LANARCE, mais
filmé en studio ou en
SAVOIE, au MONT REVART.
L'interpréte principal, le MOINE par FERNANDEL, se defendit à la fin du tournage, de
l'aspect anticlérical des
scénes, et se refusa ensuite à tout "film d'art".
Ainsi, non loin de SAINT-PAUL-DE-TARTAS, un dénomé Antoine ENJOLRAS, maquignon de son état, aurait perdu sa genisse lors du retour de la foire de
SAINT-CIRGUES-EN-MONTAGNE. Son corps
est retrouvé le 26 OCTOBRE 1831 sur les bords de
l'ALLIER.
| |
| | |
|
|